« À L’ARRACHE »

Portraits & récits de la scène musicale underground de Lyon, 1980—2020

336 pages de textes et d’images

format 18 x 26 cm

Graphisme : Félicité Landrivon avec Églantine Marcel

20 EUROS (frais d’envoi ou marge du libraire compris)

Éditions BARBAPOP, Décembre 2021

NOUS VENONS DE RECEVOIR LE 2E TIRAGE

LYON > LIBRAIRIES LYONNAISES qui diffusent le livre
(MERCI de privilégier et soutenir votre librairie / disquaire local)

• Dangerhouse Record Store
• Sofa Records
• Le Bal des Ardents
• Librairie Ouvrir l’Oeil
• Librairie TERRE DES LIVRES
• Le Livre en Pente
• Librairie Rive Gauche
• L’astragale
• La Luttine
• Bigoût Records
• Librairie la Gryffe
• Librairie La Madeleine
• Librairie La Voie aux Chapitres

AILLEURS >

• Saint-Étienne : Librairie Dalby / Librairie Lune et l’Autre
• Marseille: Librairie la Salle des Machines (Friche Belle de Mai) / Histoire de l’oeil / Dizonord
• Paris : After8 Books (10e) / Le Monte-en-l’Air (20e) / La régulière (18e) / L’établi (Alfortville, 94)
• Angers : Les Nuits Bleues
• Bordeaux : Disparate
• Poitiers : La Pétroleuse
• Toulouse : Terra Nova
• Grenoble : Les Modernes
• Nantes : HAB Galerie
• Belgique
  Bruxelles : rile* space
• Suisse 
  Genève : BONGO JOE // Records + Cafe + Label
  Genève : La Dispersion
  Lausanne : Librairie L’HumuS

MERCI !

Un fanzine réunissant une cinquantaine de visuels et affiches réalisés par Seb Radix depuis une vingtaine d’années, tous commentés d’anecdotes, recontextualisés, racontant ainsi un paquet de souvenirs de la scène des musiques underground de Lyon

36 pages, noir et blanc et couleur, couverture sérigraphiée

Imprimé à 200 exemplaires

Prix de vente : 8 euros.

Frais d’envoi : 3 euros

impression : Graphiscan, Lyon, juin 2019

sérigraphie : Barbapop, Lyon

papiers : Chrom Splendor Lux 90g (livre), Olin Regular extra blanc mat FSC mix credit 250g / m² (couverture)

mise en page Julien Paget / jlnpgt.tumblr.com

typographies Brandon GrotesqueAntique Olive

co – éditions :

• Barbapop / barbapop.com
• Echo Canyon / echocanyonrecords.com
• Rock’n’Roll Masturbation / rocknrollmasturb.free.fr

édito :

« Vous pourrez remarquer dans ce recueil beaucoup d’affiches avec le nom de Seb and the Rhâââ Dicks. En m’appellant Sébastien Radix, j’ai monté sous ce nom, il y a quelques années, ce groupe où je joue tout seul. J’espère que vous n’y verrez pas là un égocentrisme démesuré et assumé, mais plutôt une habitude de faire les choses par moi-même. Ça m’évite d’avoir à déranger quelqu’un que, de toute façon, je ne pourrais pas payer autrement qu’en remerciements… Des fois, c’est déjà ça, vous me direz. Mais je pourrais comprendre que vous puissiez trouver cette sélection un poil centrée sur moi-même. Bah, c’est juste pas moi qui l’ai faite. Ah ah! Vous savez plus quoi dire hein ? Bah, moi non plus.

Bon, en fait, j’en ai un peu marre de ces bouquins ou fanzines graphiques avec rien d’écrit dedans. Je me disais que ce serait plus intéressant avec un peu de texte. On est pas obligé de tout comprendre tout le temps, mais y’a des fois où c’est bien d’avoir des explications quand même, non ? Du coup en 2016, quand on m’a mis l’idée en tête de sortir ce zine avec toutes ces affiches, pochettes etc… Je me suis dit la même chose. Après, bon, je me dis que ce serait plus intéressant, mais je sais pas si ça va être le cas, hein… Nan, sans déconner, je me suis retrouvé une fois dans une sorte d’expo de fanzines et… Bah, y’avait rien à lire !! Que des trucs, pour la plupart pas mal, mais bon, c’est joli, ok… Et après ? On aurait dit une expo d’étudiants des Beaux Arts !Y’a plus que des étudiants et des graphistes qui font des fanzines ? Bon, bref, je me suis dit que j’allais tenter de mettre une anecdote par affiche, histoire de rendre le truc un poil plus… Enfin, moins chiant. Je vais pas m’amuser à vous expliquer comment je fais tel ou tel truc. C’est quand même pas très compliqué et ce serait un peu prétentieux. Avant tout, il faut savoir que je ne sais pas vraiment dessiner mais, par contre, j’aime le faire. Découper, assembler, coller, photocopier, dessiner par dessus : j’adore ça, c’est ce que je fais. Je le fais toujours avec plaisir. Des fois, on s’arrache les cheveux sur tel ou tel truc qui rentre pas dans l’espace qui reste, alors on bricole, c’est sûr que ça serait plus rapide sur un ordi, mais encore faut-il savoir s’en servir…

Au sujet des affiches, le but pour moi est qu’on les voit sur les murs. Pareil pour les tracts, même piétinés à la sortie d’un concert. C’est sûrement un signe du temps, les choses évoluent, mais je n’arrive pas à me résoudre au fait que tout passe par les réseaux sociaux, et que Gérard Collomb aurait gagné sa bataille contre l’affichage « sauvage ». Bon, ça c’était l’introduction. Ah ah, bon courage ! » Seb Radix

Squateuses, squateurs, ami-e-s des squats,

Nous sollicitons votre participation à la réalisation d’un livre sur la question des squats à Lyon.

Documenter, garder traces de nos histoires communes, des contre-cultures, des cultures minoritaires, des expérimentations en tous genres qui remettent en question l’ordre établi, nous semble utile et nécessaire pour élaborer des imaginaires communs sur lesquels s’appuyer dans nos présents et nos devenirs.

Nous vous proposons de préparer collectivement un recueil de textes et images réalisés par les squatteurs et squatteuses et par les personnes qui vivent et font vivre ces espaces libres.

Il pourrait s’agir d’interviews, de récits, de manifestes, de communiqués de presse, de journal intime, de souvenirs marquants, d’archives (photos, documents), mais pourquoi pas aussi de textes d’analyse, de regards historiques ou de récits de fiction, de dessins, toute une matière hétéroclite qui nous l’espérons rendrait compte des squats lyonnais, de leurs intentions, de leurs modes d’organisation, de leurs revendications, de leurs luttes, des fêtes, des procès, de leurs expérimentations, de leurs habitants, de leur réalité quotidienne, dans leur grande diversité. Le recueil prendrait sens dans l’accumulation de textes et documents variés, personnels et collectifs.

Nous imaginons nous concentrer plutôt sur les squats où ont/avaient lieu ateliers, réunions, discussions, concerts, projections, etc. et qui sont/étaient plus que des lieux d’habitation.

Il serait intéressant de faire quelque chose sur la période très active des squats des pentes de la Croix-Rousse dans les années 80/90 mais nous proposons ici de plutôt nous intéresser d’abord à la période qui suit, c’est-à-dire depuis les années 2000 jusqu’à aujourd’hui.

Les squats sont des espaces importants dans la ville, des espaces où l’on peut respirer, des tentatives de zones autonomes, souvent temporaires, parfois heureusement plus pérennes. Nous estimons beaucoup comment les squatteurs et squatteuses s’organisent, constituent des lieux collectifs, qui s’inventent au quotidien, et remettent en question les normes de plus en plus contraignantes dans les villes. Pour autant, les squats ne sont pas sans contradictions ou sans difficultés, ce que nous pouvons aussi interroger collectivement.

Aussi, nous constatons comment, dans les villes d’Europe aujourd’hui, une mode s’est développée à investir les friches industrielles pour y proposer des activités soi-disant culturelles, qui sont en fait principalement des lieux motivés par l’argent. Tandis que dans le même temps la répression nous semble avoir considérablement augmenté à l’encontre des squats (moins de tolérance, délais d’expulsion nettement réduits, nouvelles législations de l’état d’urgence). On pense à ce qu’est devenue la Miroiterie à Paris pour ne citer qu’un exemple, ou comment des hangars industriels de Lyon 7e anciennement squattés deviennent des lieux de « fooding ». Il nous semble que ces nouveaux lieux urbains, appelés «tiers lieux », « lieux intermédiaires » ou « friche artistique », récupèrent souvent une esthétique héritée de la culture squat tout en omettant/niant la culture contestataire qui accompagnait l’occupation d’espaces laissés à l’abandon. Il y a si peu d’écrits sur ce que sont les squats et cela nous semble nécessaire de formuler les différences, notamment à l’attention des jeunes qui se rendent dans les squats à l’occasion de fêtes et concerts. (Nous rejoignons d’ailleurs, à ce propos, la démarche entreprise par quelques un-e-s pour questionner la place de la fête dans les squats : https://rebellyon.info/Retour-sur-une-soiree-en-squat-et-19271)

Aussi comme beaucoup de communautés minoritaires, et bien sûr dans une nécessité de survie, les squats existent dans la clandestinité et laissent peu de traces. Il est bien difficile de se faire une idée de tout ce qui s’est passé à Lyon ces dernières décennies, comment par exemple se représenter la Croix Rousse squattée de toutes parts dans les années 80/90. Et il serait intéressant de raconter comment existe une continuité (ou non) entre les lieux qui s’ouvrent, les gens qui s’y impliquent. On peut aussi interroger la particularité du contexte Lyonnais, cette ville où l’implantation des identitaires se développe de façon spectaculaire (ouverture de toujours plus de locaux identifiés, le bastion, l’école Le Pen,…) sans être inquiétés ou dénoncée par la mairie ou l’État. Lyon n’est-elle pas aussi le terrain d’expérimentation des nouvelles pratiques du ministère de l’Intérieur, par exemple lors des manifestations ou à l’encontre des squats nouvellement ouverts, notamment ceux là qui sont solidaires des migrants ?

C’est par intérêt pour cette histoire à laquelle on peut se référer, que nous aimerions que soit publié un livre qui serve de mémoire, de repères, qui soit prétexte à échanger sur les pratiques passées, présentes et futures.

Pour lancer ce travail de fond, nous avons préparé, comme une première pierre, comme un préliminaire qui fixe le cadre à ce projet, une carte des squats des années 2000 (jusqu’à fin 2017), une cinquantaine de lieux aux noms évocateurs de pleins de souvenirs et d’histoires collectives. La carte n’est pas et ne peut pas être exhaustive, on vous laissera la compléter.

Ce projet ne pourrait exister que si les participant-e-s sont assez nombreux-euses.

Sans doute est-il important de dire aussi que nous ne sommes ni historiens, ni sociologues, que ce n’est pas une recherche scientifique distancière, c’est une proposition spontanée qui ne s’inscrit pas dans un cadre universitaire, il s’agira de trouver les mots justes. C’est l’idée de faire un livre qui rende hommage à des lieux que nous estimons et aux personnes qui les font exister (la participation peut bien sûr être anonyme).

Il est aussi important de dire que nous lançons cette idée mais qu’en fait, il serait aussi bien que ce soient d’autres que nous qui le fassent, car nous ne sommes pas nous même squateuses/squateurs, nous ne souhaitons pas écrire à la place des personnes concernées, nous proposons seulement d’aider à porter ce projet, d’aider à réaliser ce livre des paroles des personnes concernées et qui seraient motivées par le projet.

Voilà, nous espérons que ces quelques mots vous donneront envie, qu’on se rencontre, qu’on en parle, qu’on voit si on peut faire quelque chose ensemble,

Je dis « nous », souhaitant croire à la mise en place d’un collectif autour de cette idée,

mais tout reste à faire,

merci de votre attention,

Barbapop, septembre 2017

___________________________

juillet 2019

une carte sérigraphiée a été réalisée, fruit du travail de recherche.

Graphisme Brigade Cynophile, dessin Edith Lake

Publié en sérigraphie à 100 exemplaires.

www.barbapop.com

J’ai la joie de vous annoncer la sortie du livre UNDERGROUND BUSINESS,

un travail d’enquêtes de plus d’un an et demi sur les cultures en marges, mariné d’expériences collectives, nourri de chacun des moments, concerts, projections, ateliers, rencontres qu’on a mis en place et qu’on continuera de proposer pour se retrouver.

UNDERGROUND BUSINESS

Je voudrais que ce livre ne soit qu’une première pierre d’un projet plus large :

documenter les cultures en marges.

il n’y a aucune mélancolie à interroger le passé, documenter le présent et le passé, c’est au contraire un projet tout tourné vers l’avenir, les tentatives passées constituent l’expérience, une force, pour ce qui est à venir.

Rechercher la poésie, la pensée qui se logent dans les interstices, les marges d’une société abimée,

inventer des lieux, matériels ou non, une édition, un moment, des rencontres collectives où se nourrit un désir d’habiter, de vivre.

alors j’envisage une série de publications, de discussions, de projections ou d’autres choses – peu importe la forme – à géométries variables, une cartographie sensible, des mots qui cherchent, le langage qui accompagne, scrute, définie les métamorphoses du monde.

Marielle Macé parle des noues, des cabanes de pensée, des zones à défendre, je ne peux me défaire de l’idée aussi des zone d’autonomie temporaire, de fêter le métissage, on trace des lignes, on invente de nouveaux récits.

J’aimerais partager tout cela avec vous, alors je suis heureux de vous confier ce premier livre, underground business, j’espère que vous aurez le goût, le temps de le découvrir,

merci à toutes celles et ceux qui m’ont aider à le faire exister !

—

« UNDERGROUND BUSINESS
Cahier d’enquêtes sur les cultures en marges »

210 pages, format 16.50 x 22.00 cm
Dessins : Gaëlle Loth,

Conception graphique : Jeanne Gangloff et Éléonore Jasseny,

Relecture et correction : Sophie Lecluse,

Éditions Barbapop – Sebastien Escande

PRIX : 15 euros (frais de port / marge libraire : inclus)

Avec des entretiens des collectifs :

– Grrrnd Zero (Salle de concerts et autres réjouissances, Lyon)

– BATT Coop (Coopérative de diffusion de microéditions, Paris)

– Gran Lux (Salle de projection souterraine, cinéma en pellicule, Saint-Étienne)

– Le Dernier Cri (Édition et sérigraphies sauvages, Marseille)

– Disparate (Fanzinothèque, microédition, Zinefest, Bordeaux)

– Videodrome (Cinéma non commercial, bar et vidéoclub, Marseille)

– Ville Morte (Média et outils d’entraide pour les organisateurs de concerts, Lyon)

– Le Magasin (Laboratoire de permanence chorégraphique, Saint-Étienne)

– Fotokino (Expositions, ateliers, festival, la fête des images, Marseille)

– Data (Lieu d’habitation, datathèque et salle
de concerts, Marseille)

– Captain Ludd (Collectif de designers, repenser les objets et espaces communs, Saint-Étienne)

– À bientôt j’espère (Réinventer la projection en dehors des cinémas, Grenoble)

– La Laverie (Des fêtes entre potes avec toute la ville, arts de rue, Saint-Étienne)

– La maison d’édition d’idées (Avec les enfants de
la Villeneuve, Grenoble)

– 102 (Espace autogéré, cinéma et musique, culture expérimentale, Grenoble)

– Asile 404 (Atelier d’artistes et salle de concerts, Marseille)

Photos : Gaëlle Loth, merci !

————————————————————————-

LE LIVRE EST ÉPUISÉ !

composées par autant de musicien-e-s et groupes ami-e-s,

EN SOUTIEN AUX MIGRANTS PRÉCAIRES,

via les collectifs RESF Rhône et JAMAIS SANS TOIT

VOL 1 :  https://ligature.bandcamp.com/album/france-gall-tu-laimes-ou-tu-la-quittes-vol-1-1963-1967

VOL 2 :  https://ligature.bandcamp.com/album/france-gall-tu-laimes-ou-tu-la-quittes-vol-2-1967-1981

Elle a été réalisée entièrement bénévolement,

merci à toutes les personnes impliquées de près ou de loin.

Format numérique en vente à prix libre

La totalité de l’argent récolté sera remis aux collectifs :

RESF 69 (Réseau Éducation Sans Frontières)

et Jamais Sans Toit.

Graphisme : Félicité Landrivon – http://felicitonlandrive.tumblr.com  

Mastering final : Rémi Richarme

Prod : Ligature & Barbapop & leurs ami.e.s

Arrangements, enregistrements, mix : les groupes

Sérigraphie, 6 couleurs, format A5, 20 pages,
80 exemplaires, 7 euros

Merci à Sarah Millet, Virginie Morgand et Clara Markman d’avoir aidé à sérigraphier le fanzine à l’atelier Lamartine, à Sophie Skrds pour la maquette et le choix des couleurs, à HP pour les conseils de sérigraphie et aux copines de la corep

 Coquet Pustule : https://www.facebook.com/Coquet-Pustule-177832469007570/

Fanzine de dessins de Leslie Chanel

Format A5, 16 pages

Imprimé en sérigraphie 3 couleurs
à 50 exemplaires

Merci à Antoine et Olivia, et collection et Alex
Merci à Sophie Glade et Laho

Editions Barbapop & AB

Avril 2016

L’histoire d’une petite fille, Lola, qui aimait les chiens et les poupées noires, sa rencontre avec sa correspondante turque et du projet de devenir un ours en peluche !

Une histoire écrite par Léa & Sébastien avec des chips, du pop corn et du jus de pomme trouble, mardi 19 mai 2015.

Fanzine imprimé en riso par Duplico, format A6

Edition Barbapop & Léa Marie Adrienne, , mai 2015

50 exemplaires

ALPHABET
Fanzine en risographie
Avec plein d’animaux et plein de couleurs
Pour tous les enfants

l’ALPHABET est illustré par…

A : Camille Lavaud – www.camillelavaud.com
B: Gaëlle Loth – gaelleloth.tumblr.com
C: Anna Haifisch – hai-life.com
D: Marie Caudry – mariecaudry.free.fr
E: Craig Atkinson – www.craigatkinson.co.uk
F: Jad Fair – www.jadfair.org
G: Camille Louzon – camillelouzon.com
H: Evelyne Postic – postic.black-and-white.over-blog.com
I: Aisha Franz – www.fraufranz.com
J: Maria Luque – cargocollective.com/marialuque
K: Lilas – lalilas.over-blog.com
L: Soya le Gato – soyalegato.com
M: Ron Rege Jr – ronregejr.tumblr.com
N: Anouk Ricard – anoukricard.blogspot.fr
O: M.J.Choi – www.mmmmming.com
P: Hector de la Vallée – lelacdefeu.fr
Q: Martha Verschaffel – marthaverschaffel.blogspot.com
R: Jeong Hwa Min – www.sugarlandparadise.com
S: Inma Lorente – inmalorente.tumblr.com
T: Charline Collette – charlinecollette.com
U: Akvilé Magicdust – www.magicdust.molestar.org
V: Amélie Fontaine – www.ameliefontaine.fr
W: Caroline Paquita – www.carolinepaquita.com
X: Félicité Landrivon – felicitonlandrive.tumblr.com
Y: Esther McManus – esthermcmanus.co.uk
Z: Kinrisu – kinrisu.blogspot.com
Couverture extérieure : Soya le Gato
Couverture intérieure : Félicité Landrivon

————————
Le livre est imprimé en RISO, technique artisanale qui fonctionne un peu sur le même principe que la sérigraphie, dans le sens où chaque couleur est imprimée l’une après l’autre, dessin par dessin, ce qui représente dans le livre 90 passages et 12 couleurs, un boulot de titan que les amis de Papier Machine ont bien voulu faire pour nous.

————————
Ce livre a été réalisé par
Salade de fruits jolie jolie – saladedefruitsjoliejolie.tumblr.com
& Barbapop – www.barbapop.com
Avec l’aide immense de Nathalie Lothier – bureaubureau.fr
Imprimé en riso par Papier Machine – www.papiermachine.fr
à 300 exemplaires, en octobre 2014

IL COÛTE 15 EUROS – MARGE DES LIBRAIRIES/FRAIS DE PORT INCLUS – MERCI !

————————

Livre ALPHABET pour BARBABOP avec plein de gens cools

A video posted by Hector De La Vallée (@hector_de_la_vallee) on Nov 18, 2014 at 12:41pm PST

Merci à tous les dessinateurs et à tous les amis qui nous ont aidé.
La publication du livre est accompagnée d’une exposition collective itinérante « BROUHAHA » entre Lyon et Montréal et certainement ailleurs aussi.

Editions Barbapop – Sébastien Escande & Armelle Lopp
barbe.a.pop@gmail.com – www.barbapop.com

Pour Édith, Rita, Romane et tous les enfants !

ÉPUISÉ – SOLD OUT